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Pour que Villeurbanne passe en "ville 30"

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En 2021, deux communes ont déjà franchi le pas en abaissant la vitesse à 30 km/h dans leurs rues. Quatre autres, qui viennent d'en faire la demande, pourraient suivre. Petit à petit, le concept de la "ville 30" trace sa route dans les communes de la Métropole de Lyon. Après Oullins en 2019, Poleymieux-au-Mont-d’Or au début de l’année 2021 et Fontaines-Saint-Martin en juin, la Mulatière et trois autres communes, dont les noms n’ont pas été dévoilés, ont déposé une demande pour abaisser la vitesse à 30 km/h sur leur territoire. "Le sujet prend de l’ampleur et avance très rapidement en France, il est donc logique qu’il progresse aussi sur la Métropole de Lyon". On comprend l’intérêt de le faire, les modalités et désormais c’est aux maires de s’en saisir". Mais concrètement en quoi consiste la "ville 30" ? "C'est inverser la logique. Se dire, 30 km/h, c'est la base en ville. Et quelques axes, des grands axes, sélectionnés qui restent à 50 km/h", c’est "un des outils pour répondre à la demande des habitants d’apaiser la voirie". "Ce n’est pas le seul dispositif, mais c’est celui qui permet d’aller le plus vite et d’obtenir l’apaisement". Outre la "réduction de l’accidentologie et du bruit", l’idée derrière la "ville 30" est aussi de redonner la priorité aux piétons. "La priorité des piétons est très très peu respectée. Le piéton montre son intention de traverser et malgré cela les automobilistes ont beaucoup de mal à s’arrêter". "L’un des bénéfices de la "ville 30", et cela a été montré, c’est qu’étant donné le différentiel de vitesse plus faible, les automobilistes sont naturellement plus à même de céder la priorité, car le freinage est moins important. Cela encourage donc le respect de la priorité des piétons aux passages piétons, qui aujourd’hui finissent par abandonner ce droit et s’engagent quand il n’y a plus de voitures". A vous de jouer

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